Êtes-vous fatigué sans savoir pourquoi ?

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Faîtes-vous partie des 30 à 40% de la population qui sont dans le même cas ?

Ressentez-vous les symptômes suivants ?

Fatigue, troubles digestifs, du sommeil et de l’humeur, allergies, intolérances alimentaires, douleurs musculaires et articulaires…
Comme des millions de personnes, vous avez l’impression de vous retrouver dans une impasse.
Vous avez épuisé, vous semble-t-il, toutes les solutions et vous ne voyez aucune amélioration ! 
C’est un cercle vicieux qui, plus le temps passe, vous plombe littéralement le moral. Le pire, c’est que 30 à 40% des français sont dans le même cas et n’arrivent pas à trouver de solution.

De quoi parle-t-on ?

La candidose chronique est une affection liée à une surpopulation dans le tube digestif de levure appelée Candida albicans.
Cette surpopulation provoque les symptômes que nous avons mentionnés précédemment et affecte 20 à 27 millions de français. En réalité, nos sociétés industrielles sont totalement infectées de Candida Albicans, avec 90% des américains qui ont un taux plus élevé que la normale (dont 70% de femmes).
Les manifestations cutanées peuvent commencer par les orteils, où des rougeurs et des petits boutons peuvent apparaître ; pour les femmes, par un écoulement vaginal épais, blanc jaunâtre ayant l’aspect du lait caillé adhérant aux parois du vagin et au col de l’utérus provoquant des sensations de brûlure.

Les principaux facteurs du développement de la candidose

Le Dr Vincent Renaud nous explique les causes du développement de cette maladie :
La candidose chronique, identifiée dès les années quatre-vingt notamment par le docteur américain Orion Truss dans son livre «The Missing Diagnosis», est liée à l’explosion de la consommation de sucres raffinés, dont le Candida albicans se nourrit. En France, on est passé de 4 kg de sucre par habitant en 1830 à 35 kg aujourd’hui [selon une étude suédoise parue dans The American Journal of Clinical Nutrition, ndlr].

De même, les antibiotiques, pris directement ou indirectement via la consommation de viande, ainsi que les corticoïdes, les anti-inflammatoires, les anti-acides, les traitements de chimiothérapie et la pilule, qui sont massivement apparus à partir des années cinquante, ont facilité son développement. (1)

Ces Champignons peuvent vous gâcher la vie !

Le Dr Vincent Renaud, micronutritionniste, spécialiste de la candidose explique comment cette maladie survient :

La candidose survient suite à une prolifération anormale de Candida albicans dans l’intestin.
Cette levure, qui existe depuis la nuit des temps, contribue au bon équilibre du microbiote intestinal humain. C’est un échange de bons procédés. Notre intestin lui offre le gîte et le couvert et en échange, elle intervient dans le recyclage de nos déchets organiques et dans les processus de fermentation, fournissant de l’énergie à nos cellules. Le problème survient lorsqu’elle se développe en trop grande quantité. Douée de dimorphisme, Candida albicans se transforme en moisissure et tapisse la muqueuse intestinale, causant des dommages importants : mauvaise assimilation des minéraux, porosité intestinale induisant des réactions allergiques et des intolérances alimentaires. Le largage de mycotoxines dans le sang perturbe par ailleurs le système immunitaire et hormonal… (2)

Dans la plupart des cas, l’infection au Candida albicans ne vous empêche pas de travailler ou de vaquer à vos occupations. Mais le problème est que ce champignon ne produit pas moins de 79 immunodépresseurs.

Ce sont des substances qui neutralisent vos défenses naturelles, ouvrant grand la porte à d’autres maladies. Plus vous avez de Candida albicans dans le corps, plus vous devenez vulnérable aux infections.

Le Candida peut également causer des démangeaisons de l’anus qui peuvent devenir fréquentes et gênantes.

La nutrition anti-candidose

En parallèle avec la mise en place d’un protocole anti-candida, il est important d’adopter un régime alimentaire adéquat excluant pendant quatre à six mois les sucres et les céréales raffinés, la levure et les produits laitiers car ce sont eux qui vont nourrir votre candida. Il devient évidemment très difficile de l’éradiquer alors que l’on continue de le nourrir allègrement.

Connaître votre ennemi pour mieux l’attaquer

Vous savez maintenant que cette levure, le Candida albicans, vit dans votre intestin et que si l’équilibre de notre flore intestinale est perturbé, cela peut lui permettre de prendre le dessus occasionnant des troubles et des disfonctionnements.
Nous avons rapidement évoqué en introduction certains symptômes. Voici 4 types de symptômes présentés par le Dr Rueff :

Le premier symptôme (et probablement le moins spécifique de tous) reste la colite intestinale, avec ses gaz et ballonnements plus ou moins douloureux, sensations d’être rassasié dès les premières bouchées, diarrhées, constipation, ou alternance des deux, selles grasses (flottantes), piquantes et brûlantes, avec démangeaisons anales.Par ailleurs, la zone autour de l’anus (marge péri-anale) est constamment humide, parfois suintante et tache le linge. 

Le second symptôme de la maladie candidosique est souvent une fatigue inexpliquée et progressive. L’examen médical, qu’il soit clinique ou biologique, ne révèle rien de particulier. Vous vous levez et vous couchez fatigué, vous êtes perpétuellement insatisfait ou de mauvaise humeur, irritable sans raison et vous ne supportez plus les petites contrariétés et agressions habituelles. Bien entendu, on vous parlera d’anxiété, de dépression, de problèmes psychologiques… mais cela ne résoudra rien ! 

Le troisième concerne les capacités d’orientation spatio-temporelle ainsi que les troubles de la concentration, de la volonté, de la mémoire, les capacités d’apprentissage ou même les sensations vertigineuses. Vous êtes distrait, incapable de vous concentrer sur un travail et finalement vous manifestez une certaine tendance à l’isolement. Les enfants ont souvent un caractère difficile, parfois « hyperactif », en « dents de scie », tantôt apathiques tantôt violents ils sont toujours imprévisibles. Leur capacité d’apprentissage, de mémorisation et d’attention est très souvent diminuée. 

Le quatrième et très grand symptôme se manifeste par l’apparition brutale ou l’aggravation de manifestations allergiques : au début ce ne sont que de simples intolérances, puis certaines odeurs (parfums, environnement, lessives…) deviennent insupportables sans raison. Enfin vous ne tolérez plus aucun autre tissu que le coton, aucune autre nourriture que celle la plus simple et la moins cuisinée possible. 

La dépression ou l’hypersensibilité psycho-affective peut être le cinquième signe : vous devenez de plus en plus inquiet, maniaque, ou sensible. Parfois c’est l’agressivité qui domine. Vous risquez de courir de thérapies en thérapies, de médications en médications. Vous serez temporairement amélioré par l’une ou l’autre. 

D’autres signes et symptômes beaucoup moins spécifiques tels qu’insomnie ou, au contraire, irrésistible envie de dormir après les repas, maux de tête ou migraines, douleurs articulaires et musculaires doivent faire évoquer et rechercher la candidose surtout s’ils surviennent dans le cadre d’une des situations favorisantes que nous venons de décrire. 

Bien entendu, et c’est probablement le plus important, aucun de ces symptômes n’étant spécifique, il ne faut pas d’emblée penser qu’une mycose intestinale est systématiquement en cause. (3)

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Candi’Clean : une formule qui a fait ses preuves

Une formule unique destinée aux personnes souffrant précisément de candidose, a été développée depuis plus de 10 ans. Celle-ci a fait ses preuves. Jugez-en par vous-mêmes :

. Acide caprylique
L’acide caprylique est un acide gras à chaîne courte (8 atomes de carbone), naturellement présent dans le lait maternel ou la noix de coco. Il est facilement résorbé par la muqueuse intestinale, ce qui lui confère un rôle de premier plan.
L’acide caprylique présente une fonction antimycosique à large spectre, ce qui le rend capable de lutter contre le Candida albicans et autres mycoses.

. Origan
L’action conjuguée des deux principes de base qui sont contenus dans l’origan (le carvacrol et le thymol) a prouvé son efficacité antifongique et l’origan est utilisée pour traiter le candida albicans ou les infections vaginales, mais pas seulement.

. Propolis
L’extrait de Propolis brune contient des acides phénoliques et des flavonoïdes (la pinocembrine et la pinobanksine) qui possèdent des propriétés fongicides et antiparasitaires.

. Lapacho
Le Lapacho est une plante sud-américaine utilisée dans le traitement des infections. La plupart de ses activités sont dues à la présence d’un alcaloïde particulier : le lapachol. La plante contient un autre composé appelé la xyloidine qui, associée au lapachol possède une activité anti-fongique notoire.

. Pépins de pamplemousse Citrus Grandi
En 1980, un jardinier de Floride découvre que des pépins de pamplemousse au milieu de son compost ne pourrissent pas. Ce jardinier, Jacob Harich, est médecin physicien et immunologiste. Immédiatement, il reproduit cette expérience dans son laboratoire. Il découvre rapidement que les graines de pamplemousse recèlent une substance à la fois plus puissante et moins nocive que la plupart des antibiotiques. Depuis cette découverte en 1980, l’extrait de pépin de pamplemousse a fait l’objet de nombreuses recherches et est reconnu Outre-Rhin comme une alternative naturelle aux antibiotiques.

. Bromélaïne & Papaïne
Ces enzymes protéolytiques sont précieuses pour aider à la digestion. Elles réduisent et éliminent l’inflammation des tissus de la muqueuse et agissent favorablement contre les allergies. Elles stimulent enfin la production de certaines cellules immunitaires (T lymphocytes) ainsi que sur le pH.

. Betacarotène
Efficace pour traiter les cas de malabsorption intestinale par modification de la muqueuse de l’appareil digestif.

Les informations de cette lettre sont publiées à titre informatif et ne peuvent être considérées comme des conseils médicaux personnalisés. Pour toute question relative à sa santé et son bien-être, il est recommandé au lecteur de cette lettre de consulter des professionnels de santé homologués auprès des autorités sanitaires de son pays.

[1] Alternatives Santé, n° 29, novembre 2015, p. 14.
[2] Alternatives Santé, n° 29, novembre 2015, p. 14.
[3] La Lettre du Dr RUEFF, 10 septembre 2016

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